Une mise en route d’un dispositif de trackage de Smartphones à distance voit le jour. Il s’agit de « schtroumpfs ». Dans cette découverte assez dilatatoire, Edward Snowden décerne une étonnantes éventualité de contrôles à distance sur les Smartphones. De ce fait, un dilemme naît et ramène à poser la question : « la vie privée demeure-t-elle en jeux ? ». Afin de répondre à cette interrogation, cet alerteur expose ses arguments aux profits du public. Toutefois, le sujet reste délicat et engendre plusieurs commentaires.
Fonction de l’application mystérieuse
D’après les constatations, cet outil d’espionnage et de prise en main invisibles détecte à distance les Smartphones. Dans cette manoeuvre, ce dispositif serait capable d’ordonner l’extinction ou l’allumage du téléphone, de mettre en marche le micro pour écouter les conversations. De plus, il peut prendre des photos à l’insu de l’utilisateur et peut traquer par géo localisation. En bref, ces options sont, entre autres, les fonctionnalités de ce dispositif d’Edward Snowden. Les autres aptitudes de cette application sont tenues certainement en secret.
Protection contre la criminalité
Edward Snowden appuie fortement que le programme d’espionnage des schtroumpfs n’est vraisemblablement pas employé directement par les services de renseignements britanniques pour surveiller l’ensemble de la population ou un grand nombre de citoyens, ni même ciblés. Le but de ces outils, stipule le lanceur d’alerte, est de surprendre des terroristes ou autres criminels impliqués dans des crimes dramatiques tels que la pédophilie. Selon lui, ces faits malheureux deviennent défendables si cette pratique est juridiquement encadrée.
Avis du gouvernement britannique
Prise dans un dilemme qui mérite d’être élucidé, la Bretagne a refusé de commenter ces divulgations sur l’espionnage des smartphones. Toutefois, elle a annoncé que tout le travail du GCHQ est effectué dans un cadre juridique et politique strict. Ce fait garantit que ces programmes sont autorisés sous le cadre d’une surveillance rigoureuse, y compris la secrétaire d’Etat, les commissaires les services d’interception et de renseignement, et le Comité parlementaire sur le renseignement et la sécurité. Tous ces processus opérationnels soutiennent rigoureusement cette position.
Une remise en question sur l’existence du droit sur la vie privée
Certain craigne que ce droit ne demeure plus qu’une fable. Cependant, Maître Olivier Iteanu, avocat spécialisé en nouvelles technologies, met le point sur le I. Il confirme que cette pratique est complètement interdite. Quiconque voudrait porter plainte pour ce délit aurait de fortes chances de voir son affaire instruite. L’avocat précise que des cas d’exception peuvent exister, mais n’est guère en dehors d’une législation établie. Ces pratiques particulières doivent être expressément visées dans la loi. Quand les gouvernements britanniques ou américains affirment que M. Snowden a causé de grands dommages aux capacités des agences de renseignement à faire face aux menaces touchant à la sécurité nationale, cet alerteur de renom répond qu’il a agi dans l’intérêt public. Il affirme que les activités de surveillance révélées dans les milliers de documents qu’il a communiqués sont effectuées sans aucune sorte de participation démocratique. Toutefois, qui ont raison et qui ont tort ?