Cybercriminalité : les moyens de contre-attaquer

De nos jours, la cybercriminalité gagne de plus en plus de terrain. Ces attaques numériques peuvent avoir des impacts sur des infrastructures physiques ou numériques. On a sûrement remarqué que les pirates s’intéressent à l’internet des objets. Comment lutter alors contre ces cybercriminels ?

Cybercriminalité les moyens de contre-attaquer

Renforcement des normes de sécurité

Pour un fonctionnement optimal, les appareils utilisant Internet nécessitent des données personnelles. À vrai dire, ils collectent même un maximum de renseignements sur l’utilisateur. Entre les mains d’un pirate, ces informations peuvent avoir des impacts désastreux sur une compagnie ou un individu. Selon les experts, l’adoption de nouvelles règles de sécurité peut remédier au problème. Certes, ces réglementations existent déjà, mais elles sont insuffisantes. Il faut se focaliser davantage sur la sécurisation du réseau. Il est crucial de miser sur ces points, vu qu’il y a encore des lacunes notamment en matière de sécurité. Prenons, par exemple, le cas du réseau NFV. La norme qui régit ce domaine ne renferme aucune méthode de sécurisation. Heureusement que les organismes concernés ne restent pas indifférents à cette situation. Si l’on croit les dires de nos sources, certaines études sont en cours pour permettre de sécuriser davantage l’internet des objets. De plus, elles optimiseront la fonctionnalité de ce dernier afin d’éviter les éventuels problèmes médiatisés maintes fois.

Se pencher sur la confidentialité

Quelles sont les données qui peuvent être piratées ? Il y a l’identité de la personne, son numéro de téléphone et son adresse mail. Cependant, la liste n’est pas exhaustive. Les hackers ont  également la possibilité de connaître les détails des achats de l’individu, les magasins qu’il fréquente, ses habitudes alimentaires, la musique qu’il écoute, le sport qu’il pratique… Généralement, les pirates dérobent des informations pour les revendre par la suite. C’est la raison pour laquelle il est nécessaire de protéger à tout prix les identités d’un internaute. À ce propos, il y a deux moyens de soutirer les informations d’un internaute. Le premier est légal. Il consiste à avoir l’accord de l’utilisateur en lui envoyant des textes mentionnant les conditions générales d’utilisation. En acceptant cela, l’internaute autorise le transfert de données vers le concepteur de l’application. La deuxième technique est différente et constitue une infraction. Elle consiste à avoir les informations à l’aide d’un Cloud, d’un appareil connecté…

Une criminalité numérique qui ne cesse d’évoluer

Comme précités, les organismes concernés cherchent des solutions efficaces pour sécuriser le domaine de l’internet. De leur côté, les criminels évoluent également. Récemment, on a remarqué une nouvelle méthode de piratage. Avant de vendre les informations, les individus malintentionnés les combinent et les entreposent d’abord. Pour y parvenir, ils utilisent des techniques fréquentes en « Big data ». L’objectif, c’est d’éviter les banales normes de sécurité comme la vérification d’identité. En fin de compte, les pirates arrivent à vendre des renseignements dérobés sans attirer l’attention. Actuellement, la valeur des informations augmente de plus en plus. C’est pourquoi il devient plus que primordial de les protéger. Même si les pirates informatiques trouvent toujours des moyens de voler, espérons que l’autorité compétente saura contre-attaquer rapidement.