La cybercriminalité, un fléau international

La cybercriminalité ne concerne plus les seuls utilisateurs des réseaux sociaux à l’instar de Facebook. Ce désastre gagne de plus en plus de terrain et s’attaque désormais à la paix mondiale en créant des mésententes entre de grands pays. Notamment, les États-Unis et le Royaume-Uni s’allient contre la Russie qui est accusée d’avoir perpétré une cyberattaque à leur encontre. La question qui se pose est celle de savoir si ces quelques conflits risquent d’ébranler la paix mondiale et exposer ainsi le monde à un risque de troisième guerre mondiale, mais qui est dessinée avec des contextes bien plus modernes. Cependant, le résultat sera sûrement le même, avec des pertes humaines et matérielles à déplorer.

 

Les puissances mondiales et le piratage informatique

En 2015, Washington et Londres ont émis un communiqué mettant en garde contre la propagation du piratage informatique.

 

Plus encore, en 2017 ils attribuent la responsabilité de ces actes frauduleux à la Russie. Cette dernière a été inculpée pour s’être servie du rançongiciel NotPeya en vue de paralyser les ordinateurs du monde entier.

 

Des secteurs clés en ont grandement souffert et les fournisseurs d’accès internet ont été les principales victimes. Sans oublier l’impact majeur de ce phénomène dévastateur sur la bonne marche des entreprises privées. Toutefois, ce n’est pas un conflit qui a opposé directement les forces armées aériennes ou maritimes. Il s’agissait d’un mal qui rongeait le système d’une manière à la fois discrète et pourtant évidente. Discrète, car elle ne révèle pas ses auteurs, mais évidente, car elle laisse des traces avérées.

 

Toutefois, aucun détail précis n’a été dévoilé concernant les conséquences de cet agissement qui pourrait être qualifié de criminel.

 

Quoi qu’il en soit, les États-Unis ne se retiennent pas de riposter contre les attaques malveillantes de ce genre d’où qu’elles puissent provenir.

Face à ces affirmations qui semblent gratuites, le Kremlin n’a pas émis de réaction. L’ambassade de Russie sise à Londres qualifie toutefois ces gestes comme étant de la provocation. Le pays soviétique pense que cela pourrait perturber l’équilibre planétaire en termes de politique.

L’informatique en danger, la Russie coupable ?

 

En 2017, les agences américaines ont émis l’hypothèse d’un piratage informatique des courriels de la candidate à la présidentielle Hillary Clinton au bénéfice de son adversaire Donald Trump. Cela a été qualifié d’ingérence de la part de la Russie.

 

Toutes ces informations visent à sensibiliser les utilisateurs contre les dangers de la cybercriminalité. Il semblerait en effet que ce ne soit pas une, mais des milliers de machines informatiques qui soient visées par ce fléau. Il est alors urgent de procéder au partage de ces informations capitales afin de se prémunir contre les actions malveillantes.

 

Selon les Américains et les Britanniques, la menace informatique pourrait être utilisée pour rehausser les tensions et déclencher un conflit mondial qui conduira irrémédiablement à l’explosion d’une autre grande guerre à l’image des deux premières que le monde a connues.

 

La cybercriminalité semblerait être l’unique œuvre de la nation russe selon les administrateurs du pays américain. Cela demeure toutefois une affirmation encore difficile à démontrer.