Avec l’évolution constante de la technologie, les cyberattaques trouvent un chemin pour pirater les ordinateurs. Cela affecte de nombreux réseaux et de nombreuses entreprises. L’idéal serait de trouver les solutions d’automatisation de la cybersécurité. Nous verrons les causes de cette attaque informatique et les alternatives efficaces sur le long terme.
Causes
De nombreuses entreprises sont victimes d’attaques dans leur système. Les hackers passent à travers les fournisseurs internet pour pirater leur système. À travers des données confidentielles, des serveurs informatiques inaccessibles ou des logiciels inutilisables, ils trouvent différents chemins pour propager des virus. Ils se servent du déni de service pour interrompre ou perturber le système informatique. Les pirates détournent des informations pour une action politique, une désinformation ou pour faire une propagande. Ils pénètrent aussi les réseaux afin de récupérer les informations qui y sont stockées ou qui y circulent. Le courriel et l’ouverture d’une pièce jointe avec un logiciel malveillant sont source des attaques. Avec l’existence des services étrangers et de la concurrence, les pirates font également de l’espionnage, leur permettant d’entrer facilement dans le réseau.
Solutions avancées
La recherche approfondie sur la cybersécurité et la mobilisation du start-up constituent des solutions efficaces pour lutter contre les cybercriminels. D’ailleurs les outils de recherche de sécurité informatique existent déjà avec une plateforme centralisée pour contrôler le système d’information, la sécurité et repérer les attaques à travers les données des serveurs. Seule l’intelligence artificielle permet de venir à bout de cette attaque et d’automatiser la lutte contre le rançongiciel.
Tehtris est un exemple de start-up qui utilise l’intelligence artificielle pour analyser et surveiller les agents malveillants. L’objectif est de mettre en place de l’antivirus plus performant qui ne détecte que les signatures des virus connus. Ce start-up piste les cybercriminels et anticipe leurs gestes sur Darknet. Il identifie leurs cibles, leurs codes malveillants et leurs méthodes.
Acteurs de la cybersécurité
Les forces armées, l’État et les acteurs économiques sont impliqués dans la lutte contre la cybercriminalité. L’état dispose de dispositifs de surveillance dédiés à Internet. Échelon est un organe interétatique, le plus grand réseau de surveillance cybercommunications et télécommunications au monde. L’état coopère aussi avec les géants du net pour avoir des moyens financiers et techniques qui permettent de faire circuler ou non les informations.
La gendarmerie et la police possèdent des organes dédiés à la répression de la cybercriminalité. Ils luttent contre les fraudes liées aux technologies de l’information, les criminalités numériques et contre les technologies de la communication et de l’information. L’ANSSI ou Agence nationale de la sécurité des systèmes d’information protège et défend les usagers du numérique et les systèmes d’information contre les cyberattaques. Elle développe les produits et services de cybersécurité, surveille les réseaux et sensibilise les usagers.
Mesures de précautions
Qui dit exploitation de l’intelligence artificielle dite porte d’ouverture pour duper les systèmes de cybersécurité. Mais la collaboration entre l’humain et la machine permet d’y remédier. Ainsi, l’intelligence artificielle réalise les tâches répétitives et consommatrices de temps tandis que l’expert se concentre plus sur les points non traités par l’automatisme.
Par ailleurs, la cybersécurité est menacée dont le système de cryptage est propulsé par l’informatique quantique. Avec l’évolution de la technologie, il serait très important d’intégrer dans les grandes écoles l’étude sur la sécurité informatique et faire en sorte qu’elle ne soit plus une option.