Dans le top 5 des secteurs les plus touchés par les cyberattaques figure celui de la santé. Cet état de fait fut d’autant plus accentué avec la crise sanitaire liée au Covid-19. En France par exemple, on rapporte des attaques informatiques ayant récemment touché le Centre Hospitalier de Dax en Côte d’Argent et l’hôpital Nord-Ouest de Villefranche. Ces assauts informatiques leur ont coûté non seulement des pertes de données, mais aussi d’importants déficits financiers. Dès lors, que faire pour s’en prémunir ? Les établissements peuvent commencer à élaborer leur ligne de défense en identifiant leurs ennemis.
Les pirates informatiques ciblant les centres hospitaliers
Les établissements de santé représentent l’eldorado des hackers. Ceux-ci rassemblent une foultitude de données confidentielles et généralement, sensibles qui intéressent plus qu’une organisation criminelle.
Dans la généralité, ce sont des hackers usant de différentes techniques pour accéder à l’adresse électronique de leur cible dans le but de leur extirper des informations capitales ou des documents confidentiels (personnels ou professionnels).
De multiples recherches ont démontré que les hackers d’établissements de santé utilisaient surtout comme terrain d’attaque, la messagerie électronique. On a recensé plus de 10 types de cyberattaques se faisant par email. Parmi ceux-ci, on dénote les spams, les malwares, le phishing et le spearphishing, le piratage de compte, l’usurpation de nom de domaine ou encore l’exfiltration de données.
Or les cyberattaques dans les hôpitaux n’impactent pas seulement sur les ressources financières ou la vie privée. Les pannes qu’ils peuvent causer affectent éventuellement le plan humain. Quand leur système informatique est paralysé par les fraudeurs, cela peut entraîner un dysfonctionnement des appareils, des canaux de communication ou des serveurs reliant les différents départements de l’établissement.
Quelles solutions pour se protéger des cyberattaques ?
À l’échelle nationale, la République française avait annoncé l’établissement d’une stratégie nationale en cybersécurité accompagnée d’une enveloppe d’un milliard d’euros en 2021. Le secteur de la santé aurait perçu 25 millions d’euros pour lutter contre les menaces cybernétiques. Quand on fait le calcul, cela fait environ 140 000 euros par établissements. C’est une belle somme, mais qui peut vite devenir insuffisante pour la mise aux normes des infrastructures informatiques des hôpitaux et leurs régulières mises à jour.
C’est là qu’intervient Altospam. Comme la messagerie électronique professionnelle demeure l’une des principales brèches d’infiltrations des hackers au niveau du parc informatique des hôpitaux, les solutions innovantes, performantes, sûres et complètes d’Altospam sont plus qu’indiquées. Elles permettent de mettre en place une protection exhaustive des boîtes email du réseau professionnel de l’établissement afin de bloquer toutes les tentatives de cyberattaques.
Le service de sécurisation de messagerie dans le Cloud Altospam mobilise notamment 16 technologies antispam et 6 logiciels antivirus SaaS (Software as a Service). Ce logiciel basé sur le cloud alloue le meilleur service de filtrage d’emails actuel.
Altospam est apte à filtrer et à neutraliser les emails indésirables de sorte à fournir une protection impénétrable contre les logiciels malveillants, les cyberarnaques, les ransomwares et tout type de virus informatiques. C’est une solution de protection de messagerie professionnelle créée par des développeurs français pour les Français.